MOI PRESIDENT VERT

Heureusement qu’en France, l’ex-ex-compagne notre Ségolène a repris le pinceau vert pour que le président soit un peu intéressé par l’environnement.

Il est un peu coincé sur le nucléaire, car le nucléaire français permet de réguler une grosse partie du réseau électrique européen, surtout allemand. Déjà qu’il n’est pas bisous-bisous avec Angela. Il ne va se mettre en mauvais termes avec elle sur l’écologie.

Il est aussi coincé par les transporteurs car les portiques sont là mais ils n’en veulent plus. Il faut dire qu’ils peuvent paralyser la France. Le niveau de pollution et le besoin de réduire les impacts ne tiennent pas devant les règles économiques et la paralysie des réseaux routiers.

Donc, facile on augmente les taxes sur le diesel et on fait payer tous les Français en douceur…

J’espère qu’il a en mémoire la phrase d’un corrézien « Notre maison brûle et nous regardons ailleurs ». Belle phrase mais sans impact au final sauf d’être une référence de ce qui est dit en matière d’environnement mais ne donne de réelle suite.

Au final, je suis assez heureux que Ségolène soit là et à ce poste, car elle joue le « vilain petit canard ». Je lui reconnais depuis toujours d’être une personnalité politique qui dit ce qu’elle pense et des vérités qui me conviennent mais qui a du mal à concrétiser ses idées..

Dans ce cas, le président va bouger car elle va le secouer et ne pas lui laisser de répits sur l’environnement et la transition énergétique.

Comme il recherche sa grandeur et sa manière de rester un président dans les livres d’histoire autrement que celui qui a eu un quinquennat blanc sans éclat, il ne peut que saisir la perche de l’environnement et il doit arrêter de se comporter comme un carpe vagabonde en eaux troubles.

EmAir